Dossier économique |
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Analyse et point de vue
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Les dernières nouvelles de Béziers et du Biterrois |
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Analyse et point de vue | |
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Est-ce bien raisonnable ? Est-ce bien raisonné ? |
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Mais une telle précipitation est-elle raisonnée, et même raisonnable ? Plutôt que de se référer à la taille des états de la lointaine Amérique, n’aurait-il pas mieux valu s’intéresser à la taille et au poids des régions européennes ? Si l’on se réfère d’un point de vue statistique au plan économique et social, le Languedoc-Roussillon apparaît comme une région mal classée parmi les 254 régions composant l’Union Européenne. Le palmarès est peu valorisant : au 154ème rang pour le PIB par habitant et 58ème rang des régions où le taux de chômage est le plus élevé. La région se caractérise de prime abord par un marché du travail difficile et une précarité importante. Toutefois, ce classement peut être tempéré par un certain nombre d’atouts qui peuvent laisser une dynamique favorable de développement. L’atout essentiel est la croissance démographique portée par les migrations qui peut contribuer au développement de l’économie présentielle, alimenter le développement du secteur tertiaire et la construction. Un développement économique contrarié cependant par la migration d’une population de pauvreté qui accentue la paupérisation même dans la capitale régionale. Même si cet accroissement démographique peut être porteur de création d’emplois ou d’entreprises, les causes de ce dynamisme ont leurs limites. L’explosion du coût du foncier pourrait entraîner une moindre progression démographique par rapport aux décennies précédentes. Si Montpellier a bien intégré la liste des dix futures métropoles de France, son poids démographique par rapport à Toulouse ou Marseille laisse présager un certain déséquilibre et une menace d’éclatement pour le Languedoc-Roussillon. Comme nous l’avons analysé dernièrement le grand territoire Béziers Narbonne peut devenir une zone de fracture et de tiraillement. On sait qu’il existe une déchirure entre l’Aude et l'Hérault laissant planer la menace d’une dérive de l’Aude vers l’Ouest et Toulouse et de l’Hérault vers l’Est et Marseille, voire Lyon et par conséquent l’éclatement de la région. La connexion A9/A61 via le prolongement de l’A61 avec l’A62 donne à Narbonne une situation de carrefour et une connexion vers l’ouest (Toulouse) et le grand ouest (Bordeaux). Il en résulte que ces infrastructures autoroutières exercent des forces centrifuges qui entraînent le territoire audois vers Toulouse. En ce qui concerne l’espace Biterrois, force est de constater que Narbonne et Béziers constituent un carrefour de passage et non de structuration. En outre, du fait de l’attraction vers l’Est de Montpellier et du rôle métropolitain de la capitale régionale, Béziers s’est trouvée vidée de structures administratives ou économiques. Si bien que l’Ouest Hérault constitue le ventre mou du département et fait partie de la zone de déchirure qui menace la région. La menace est bien réelle. C’est pourquoi, il faut bien s’interroger sur l’opportunité d’un regroupement du Languedoc-Roussillon avec d’autres régions voisines. De toute manière, la position a priori du Président Bourquin n’est ni raisonnable, ni raisonnée. |
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Une réputation indiscutable : du monde entier, les patients viennent consulter la Clinique Causse |
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Du fait de sa spécialisation dans ses différentes activités, la clinique Causse a un important recrutement extra-régional. En effet, 60% des patient hospitalisés viennent d'autres régions, pourcentage qui passe à 78% ramené à l'échelle du département. La clinique Causse est à l’origine du réseau mondial à très haut débit Lion (Live international otolatyngology network) créé en 2006 en collaboration avec les CHU de Marseille, Hanovre (Allemagne), Manchester (Angleterre) et Padoue (Italie) ce qui lui permet de contribuer à des journées de formation gratuites à l’échelle planétaire. Contacts : Clinique du Docteur J.CAUSSE 3, trav Béziers 34440 Colombiers Tél : 04 67 35 63 21 fax : 04 67 35 62 00 site web : http://www.clinique-causse.com/ En cas d’urgence composer le 04 67 35 62 49. |
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L’identité de Béziers : Béziers entre déclin et élan de conquête |
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Même immobilisme, au XVIIe siècle, le siècle de la stabilisation économique, religieuse, de progrès de la pensée, de l’affirmation des États nationaux par la volonté de leurs souverains, nourris de droit romain et imbus d’absolutisme. Un siècle de bouleversements et en premier lieu d’un bouleversement d’idées. Dans ce bouleversement comment se situe Béziers ? La ville connaît des mutations dans son économie. Pierre-Paul Riquet y construit le canal. Une lente évolution des idées, de la pensée, de la vie de l’esprit y est décelable dès le XVIe siècle est plus perceptible au XVIIe siècle. A juste raison, le XVIIIe siècle est considéré comme le siècle des lumières, les sciences s’y développent prodigieusement et forment un édifice complet. Le progrès des connaissances développe la foi en un progrès continu de l’humanité. Les techniques se perfectionnent et la seconde révolution industrielle qui se produit en Angleterre, touche le continent. Dans toute l’Europe, l’accroissement de la circulation de l’or et l’argent, l’augmentation du nombre des hommes, l’intensification des échanges avec les pays d’outre-mer font monter les prix réels, multipliant les profits. Partout les villes se gonflent, la bourgeoisie croît en nombre et en puissance mais elle se heurte aux aristocraties et à l’absolutisme. L’évolution de tout le siècle conduit à une Révolution. Béziers et le Biterrois se montrent-ils sensibles à cette évolution ? Si le visage urbain se transforme peu, la ville ne reste pas à l’écart du mouvement des idées. Les travaux de la société des sciences et belles lettres semblent avoir été suivis attentivement et appréciés par le monde académique et scientifique, si bien que Béziers paraît avoir appartenu au monde très réservé des rares villes ayant un rayonnement scientifique reconnu : pour la France, Paris, Lyon, Bordeaux, Montpellier et, sitôt après Béziers. A la fin du XXe siècle, Béziers semble une belle endormie et condamnée au déclin. Comme dans toute mutation, la société se détruit plus vite qu’elle se reconstruit, la ville de Béziers et le Biterrois ont longtemps paru en déclin. En réalité, on l’aperçoit nettement avec les efforts de reconversion de la viticulture, la vitalité maintenue du secteur mécanique et des métaux, les changements structurels de l’économie, Béziers et le Biterrois étaient entrés dans une phase de mutation dont on percevra les effets à l’aube du nouveau siècle. Et qui se traduit, à l’aube du XXIe siècle, par un élan de conquête qui construit le renouveau de la ville. |
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Le Languedoc-Roussillon nouveau territoire de chômage |
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Certains territoires géographiques se sont enfoncés dans les difficultés. Cela semble être le cas du Languedoc-Roussillon. Selon les données les plus récentes de l'Insee, trois départements de la région affichent des taux de chômages plus élevés qu’en France métropolitaine : les Pyrénées-Orientales (15,7 %), l'Hérault (15,2 %) et l'Aude (14,8 %). Pourtant le Languedoc-Roussillon ne figure pas parmi les régions qui ont subi entre 2008 et 2012 les destructions d’emploi les plus massives. Le nombre de postes a même progressé dans quelques bassins d'emploi, notamment vers Sète et Montpellier. D'autres facteurs ont donc contribué à l'aggravation du chômage dans le Languedoc-Roussillon notamment la hausse de la population active liée à l'arrivée de nouveaux ménages et le boom démographique. Une progression du nombre d’emplois qui existe à Béziers en raison de l’attractivité de Béziers et de la croissance démographique de la ville et de l’agglomération Béziers Méditerranée. En outre, selon l’analyse de la Maison de l’Emploi du Grand Biterrois l’arrondissement de Béziers est un territoire attractif pour les retraités et les saisonniers, compte tenu des nombreux postes saisonniers proposés. De façon générale, trois mille nouveaux actifs arrivent dans l’ouest Hérault tous les ans, pour deux mille départs. |
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Les filières dynamiques de Béziers et de l’Ouest Hérault |
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Les attentes pour le commerce de centre-ville |
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Plus de la moitié des commerçants interrogés disent que leur activité a baissé en 2013 par rapport à 2012. Une minorité de 15% ont constaté une hausse de leur activité en 2013. Trois quarts des entreprises considèrent rencontrer des difficultés dans l’exercice de leur activité. Quatre-vingt-trois pour cent d’entre eux indiquent que leurs difficultés est de l’ordre de l’environnement urbain. Et de citer : l’accès, la signalétique, les parkings, la paupérisation, le sentiment d’insécurité, la propreté, les difficultés d’ordre économique (marché, concurrence) d’ordre financier (trésorerie, relations avec les banques). On se serait attendu à un minimum de mise en cause de leur propre responsabilité. En vain. Interrogés sur leurs perspectives d’évolution en 2014, 70% d’entre eux, envisagent une simple continuation d’activité, 20% une vente du fonds de commerce, et seulement 6% un développement ou une relocalisation. Interrogés sur les actions à mener ou sur leurs suggestions, leurs réponses s’orientent principalement sur l’environnement urbain: parking (gratuité de la première heure et création de places de stationnement à rotation rapide),rénovation des logements, sentiment d’insécurité… Plus positive, la suggestion de développer l’animation culturelle et commerciale. A condition de considérer que cette animation commerciale est aussi bien du ressort des commerçants eux-mêmes. Positives aussi les suggestions auxquelles les commerçants seraient prêts à participer : fidélisation de la clientèle par une newsletter sur le centre ville, démarche qualité, carte de fidélité, exploitation du fichier client, mise en place de chèques cadeaux, faire venir en cœur de ville des enseignes moyen et haut de gamme, valoriser le savoir-faire et le professionnalisme des commerçants, favoriser la montée en gamme de l’offre commerciale (marques, produits originaux, produits de créateur, produits du terroir, services clients. |
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Le renouveau commercial du centre ville |
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L’incontournable réalité du commerce de centre-ville Mais les grandes surfaces existent, elles ont même attiré certains commerçants de cœur ville qui tout en conservant leur boutique en centre-ville ont ouvert une seconde boutique dans les galeries commerciales des grandes surfaces de périphérie. Et ils s’en trouvent bien, car pour certains c’est dans ces galeries commerciales qu’ils réalisent leur meilleur chiffre d’affaires. Polygone, quel que soit ce que l’on peut en penser, existe aussi et existe bien. Tous ceux qui ont scruté son développement en espérant secrètement son échec, doivent se rendre à l’évidence. Le Polygone se porte bien. Il connaît une progression globale de son chiffre d’affaires de 5%. Signe de son attraction : le magasin Zara qui ouvrira au Polygone de Béziers en juin 2014 sera le plus grand des Magasin Zara du Sud-Est de la France. Un choix de Zara qui s’explique par la situation de carrefour routier de Béziers et par une zone de chalandise de plus de 440 000 habitants. C’est un fait, le Polygone existe et le développement commercial du centre-ville, comme du cœur de ville ne peut l’ignorer. Enfin, le développement commercial du centre-ville doit tenir compte de l’élargissement du centre-ville qui est devenu multipolaire. Il comprend trois secteurs : le cœur de ville, le secteur de l’Hours et le quartier latin de Béziers dont le dynamisme et l’attractivité tempèrent la vision pessimiste et réductrice du centre ville et expliquent le transfert d’activités commerciales ou tertiaires et non pas la perte globale d’activité. Les conditions du renouveau Le renouveau n’est possible que si les commerçants de cœur de ville chassent une fois pour tout de leur esprit la nostalgie d’un temps passé où la réputation commerciale de Béziers était telle qu’elle était un centre d’attraction pour l’ensemble du Biterrois. Ce temps n’existe plus depuis bien longtemps et ce sont les grandes surfaces, beaucoup plus que le Polygone, qui ont détruit cette attraction, de même que la concurrence de Narbonne ou Montpellier qui attiraient de nombreux biterrois. L’avantage du Polygone est d’élargir la chalandise à l’ensemble de l’Ouest Hérault et même au-delà et de contrebalancer la concurrence des villes voisines. Une zone de chalandise de plus de 440 000 habitants, ce n’est pas rien et elle ne doit pas être réservée qu’au seul secteur de l’Hours. Si l’on considère que le Polygone est situé en centre ville et à courte distance du cœur de ville, le challenge est de faciliter la distribution réciproque de flux entre le Polygone et le cœur de ville et cela d’autant plus facilement que le parking du Polygone peut jouer un rôle de redistribution et que la navette gratuite, le lien assure aux chalands un transport vers les Allées et le cœur de ville. Au delà des liens physiques, le lien entre ces deux pôles (le Polygone et le cœur de ville) est à cultiver dans les esprits et en premier lieu dans les esprits des commerçants de cœur de ville. La dynamisation commerciale du centre-ville (et par conséquent du cœur de ville) passe par la faculté de travailler tous ensemble, en toute complémentarité. Et c’est une question sine qua non. Un office de commerce pour travailler ensemble Cette dynamique ne semble pas encore acquise, ni a fortiori engagée. Il y a encore trop de non-dits, de tensions sous-jacentes, d’ostracisme, de rancunes. Pourtant quelques bonnes volontés se manifestent, en particulier celle du nouveau directeur du Polygone qui appelle à la mobilisation et au rassemblement, du GIE du Polygone, du manager de centre-ville qui appelle de ses vœux la création d’un observatoire du commerce, de la CCI qui en liaison avec les associations de commerçants et les partenaires institutionnels, a organisé un groupe de travail pour accompagner la mutation du centre-ville de Béziers. Mais l’on ne sent pas encore la volonté de travailler ensemble. Et la perspective évoquée de recrutement d’un second manager ne manque pas de surprendre et fait bien comprendre que la dynamique du tous ensemble rencontre encore des obstacles. Remarquons toutefois, qu’un expert comme Claude Hugonnet insiste sur la nouvelle dynamique de savoir travailler ensemble. Dans cette perspective, la mise en place d’un office de commerce semble être nécessaire et urgent dans la mesure où il fédérerait la ville et l’agglomération, la CCI, les chambres consulaires, les associations de commerçants, le GIE du Polygone, l’Office de Tourisme, et le service culturel et permettrait une dynamique de reconquête commerciale du centre-ville. Un observatoire du commerce et de la prospective pour anticiper les mutations La CCI dispose d’un observatoire, comme la maison de l’emploi du grand biterrois, tandis que Christine Toulorge a constitué une base de données, recensant les locaux commerciaux vacants, leurs caractéristiques, et leurs propriétaires. D’où l’intérêt de regrouper les travaux pour suivre d’abord l’évolution du commerce et en particulier du commerce de centre-ville de Béziers. Mais pour aussi indispensable que cela soit, le suivi de l’évolution locale ne suffit pas. Un observatoire prospectif du commerce semble nécessaire afin de suivre et d’anticiper l’évolution générale du commerce et par conséquent d’être attentif à un certain nombre de facteurs. Voici, pour bien cerner l’enjeu prospectif quelques observations de PROCOS, la Fédération pour l’urbanisme et le développement du commerce spécialisé :
Nécessité d’une politique volontariste de la ville pour le renouveau commercial Engager une dynamique pour développer en centre ville un haut pouvoir d’achat ce qui implique la rénovation de l’habitat (lutte contre les habitations dégradées ou indignes), la revivification de la vie sociale (retour des classes moyennes et aisées en centre-ville), la restauration de la confiance et du bien être. Autres défis La dynamique de travailler ensemble étant réalisée (condition sine qua non), de nombreux défis seraient à relever :
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Les communiqués |
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Original et séduisant |
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Le canal du Midi cherche des mécènes |
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VNF lance depuis le 1er août sa première campagne d'appel aux dons. Avec le slogan « Canal du Midi : avec moi il revit ! », 5 000 affiches, 300 000 dépliants, des encarts dans la presse et le site internet Replantonslecanaldumidi.fr doivent mobiliser les donateurs. |
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De bonds chiffres sur la sécurité |
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La prostitution et les campements illégaux : de gros moyens ont été mis en œuvre pour stopper la prostitution route de Narbonne. S’il arrivait que des hôtels logent les prostituées, ils seraient immédiatement fermés. En zone de gendarmerie -50,51 de la délinquance de proximité sur les six dernières années. Sur Béziers Le nombre de vols à main armée a diminué deux vols en 2013 contre dix en 2012. Le rapport à la loi a évolué sur le territoire L’Ouest Hérault est en voie de pacification. Le nombre de faits porté au parquet augmente. |
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La lutte contre l’habitat indigne s’organise |
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Une collaboration qui s’est traduite par une mutualisation des informations et des outils de repérage et par l’ébauche d’une cartographie des signalements. Après cette identification, la CAF pourrait suspendre le versement du tiers payant aux propriétaires de logements indignes, notamment lors des demandes d’ouverture de droits qui seraient subordonnées au bon état des logements. |
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Le marché de l’immobilier à Béziers |
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Le marché de l’ancien Le volume : le nombre de transactions n’a pas diminué en 2013 par rapport à 2012. La tendance des prix : baissière comme partout. Retour aux prix de 2003-2004. Depuis 2007, les prix ont diminué de 20 à 25% dans le Biterrois. L’évaluation des prix : Il est difficile de fixer un prix pour l’ensemble de la ville de Béziers. Cela dépend du quartier dans lequel est situé le bien immobilier. Le centre-ville historique subit une dévaluation par rapport à d’autres quartiers. Par contre, le pavillonnaire de 80 à 100 m2 en périphérie ou dans les villages voisins avec un petit bout de terrain est plus recherché. Les prix : ils se situent entre 150 000 à 175 000 €. Au centre-ville on peut trouver un T2 à 40 000 €, mais à 60 000 € dans un secteur plus recherché. Il existe un marché pour les cadres supérieurs avec des villas dont le prix se situe entre 250 000 et 400 000 €. La comparaison des prix par rapport aux autres villes : par rapport au littoral méditerranéen, Béziers reste la commune où les prix sont les plus bas. Par rapport à Montpellier, la dévaluation des prix est de l’ordre de 30 % environ, voire parfois plus. Le profil des acquéreurs : essentiellement des secundo accédants ou de jeunes retraités attirés par le soleil, le climat et les prix attractifs. Il faut actuellement au moins 10% d’apport personnel pour obtenir un prêt bancaire. Le marché du neuf Un marché attractif qui intéresse prioritairement les promo-accédants. Les prix : les villas de type T4 de 80 à 100 m2 sur un terrain de 300 m2 environ se vendent de 180 000 à 190 000 € dont environ 70 000 € pour le terrain. Un appartement collectif de 70 m2 peut se trouver à 210 000 €. La comparaison des prix par rapport aux autres villes : les prix au mètre carré à Béziers sont inférieurs de 33% par rapport à ceux de Montpellier. Les loyers en raison du plafond Duflot ne sont inférieurs à Béziers que de 20%. Une évolution des contraintes imposées aux promoteurs : il se dit que la ville de Béziers envisage de demander aux promoteurs d’accepter d’investir en centre-ville pour la réhabilitation d’îlots dégradés en échange de facilités accordées sur certains projets. |
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Perspectives démographiques et de résidences principales en Languedoc-Roussillon à l’horizon 2030 |
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Le Languedoc-Roussillon est une des régions françaises où la croissance démographique est la plus forte. Entre 1999 et 2010, la région compte en moyenne 31 000 habitants supplémentaires chaque année, soit + 1,3 % pour + 0,6 % en France métropolitaine. Si les tendances démographiques passées se prolongeaient, faire face aux besoins potentiels en logements de ces nouvelles populations constituerait un des enjeux pour la région. En effet, face à des prix de l’immobilier qui connaissent une hausse continue depuis 2000, les ménages du Languedoc-Roussillon disposent de revenus inférieurs au niveau national. Pour accéder à un logement adapté à leurs besoins, une grande majorité d’entre eux s’éloigne de plus en plus des pôles urbains. Ils allongent ainsi leurs trajets domicile-travail. Dans un tel contexte, si la démographie suit les tendances passées, proposer une offre foncière en matière de logements mais aussi de transports et d’équipements, diversifiée et adaptée à chaque territoire, aires urbaines ou zones entre les aires urbaines constitue un enjeu pour l’Établissement Public Foncier du Languedoc-Roussillon. Forte croissance démographique dans les aires urbaines et dans les zones inter urbaines L’augmentation de population est plus importante dans la zone située à proximité de la bordure méditerranéenne, le long de l’autoroute A9. Le dynamisme démographique des grandes aires urbaines s’étend aux territoires qui les séparent, appelées zones inter aires urbaines : autour de Narbonne, entre Béziers et Montpellier, entre Montpellier et Nîmes ainsi que, dans une moindre mesure, dans la partie est du Gard. Si les grands pôles urbains demeurent attractifs, de nombreux ménages font le choix de s’en éloigner. Les aires urbaines, qui représentent deux tiers de la population régionale, enregistrent deux tiers de son augmentation : + 20 200 habitants par an en moyenne, alors qu’elles occupent un quart de la superficie régionale. L’augmentation de population se fait à un rythme plus fort dans les couronnes périurbaines que dans les villes-centre. Montpellier, capitale régionale, constitue la principale exception : la ville de Montpellier a connu une croissance comparable à sa périphérie. |
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La création d’entreprise par les personnes immigrées ou issues de l’immigration |
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Des créateurs étrangers qui embauchent : La nationalité des créateurs étrangers : Des entrepreneurs majoritairement masculins : Des créateurs étrangers innovants : Moins d'auto-entrepreneurs chez les créateurs étrangers : Des créations d'entreprise plus ambitieuses : Financement : peu de capitaux mobilisés, et l'argent personnel comme alternative au financement bancaire : La présence dans les secteurs d’activité : Autre caractéristique : une forte présence dans le secteur artisanal : 47 % des entreprises « traditionnelles » (hors auto-entreprise donc) créées par les personnes de nationalité étrangère sont inscrites au répertoire des métiers (contre 33 % pour les créateurs français). Là encore, 70 % des entreprises artisanales créées le sont dans le secteur de la construction. Même si on note une forte concentration dans les secteurs de la construction et du commerce de détail, les entreprises se répartissent dans tous les secteurs d'activité avec une tendance forte à innover dans les secteurs traditionnels. 34 % estiment avoir apporté des nouveautés ou des améliorations significatives sur leur marché. Les obstacles spécifiques aux personnes étrangères ou d'origine étrangère : le financement ! Un visa spécifique pour les entrepreneurs étrangers ? Parmi les mesures issues des Assises de l'entrepreneuriat, était notamment proposée la création d'un visa pour les créateurs de start-up étrangers. Ici, il s'agirait d'ouvrir ce dispositif aux étrangers souhaitant créer leur entreprise en France. Ce visa entrepreneur ouvrirait droit à une procédure plus rapide d'obtention du titre de séjour, sous réserve de la viabilité du projet et d'un financement suffisant. |
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Le dossier : Béziers-Méditerranée : le dossier de la recherche biterroise | |
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Le grand territoire Béziers-Narbonne : L’avantage stratégique : la position de carrefour |
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L’espace central qu’elles constituent est remarquablement connecté aux grands pôles métropolitains voisins (Montpellier, Toulouse, Barcelone). Il bénéficie d’un réseau routier qui lui donne une position de carrefour : (N112 qui va de Béziers à l’Albigeois, D909 vers les hauts cantons pour Béziers ; RD 118 entre Limoux et Carcassonne, RD 610/ RD 5 entre Carcassonne et Béziers, RD 6113, RD 6009 pour Narbonne) et autoroutier (A75 qui constitue une voie de pénétration vers le Massif Central, A9, A61). Le réseau ferroviaire par la ligne classique, par le TGV et à terme par la ligne à grande vitesse offre un maillage, reliant les principaux pôles d’activités de la région, des connexions vers les métropoles régionales (Toulouse, Barcelone, Marseille, Clermont-Ferrant, Avignon), un accès direct vers Paris, Bruxelles, Lyon, Bordeaux, Nantes, Valence Strasbourg, Lille, Dijon, Caen. A proximité de Montpellier la plate-forme ferroviaire de Montpellier, important noeud de maillage européen et international permet des liaisons rapides notamment vers Barcelone, Paris, Toulouse, Lyon, Stuttgart, Genève, Milan. Les lignes ferroviaires fret qui maillent l’ensemble des générateurs de trafics avec des installations terminales embranchées devraient être confortées par la ligne grande vitesse mixte (Voyageurs et marchandises) Le réseau aérien est conforté par l’aéroport de Béziers Cap d’Agde qui compte tenu de son développement très rapide est un outil de développement touristique majeur. A proximité du grand quadrilatère, l’aéroport de Carcassonne a conclu des accords et des partenariats visant à renforcer l’attractivité touristique audoise. A proximité, l'aéroport de Montpellier propose chaque jour de nombreux vols pour Paris ainsi que des vols nationaux et internationaux. Air France y propose des destinations opérables en aller retour dans la journée, en France et vers l'Europe. Le grand quadrilatère peut disposer du port de Port-la-Nouvelle, le troisième port français de la Méditerranée ouvert à l'importation d'hydrocarbures et à l'exportation de céréales situé à 25 kilomètres de Narbonne. Desservi par l’A9, la position géographique du port le place comme un débouché naturel des régions Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées et du centre de la France. Situé à 40 kilomètres, le port de Sète est le deuxième port de commerce en Méditerranée française. Les principaux courants de trafic concernent les céréales, les oléagineux, les tourteaux ; les vins ; les produits forestiers (bois exotiques) ; les produits pétroliers et chimiques ; les vracs solides (bauxite, charbon) ; les conteneurs. Son trafic vers le Maghreb est en forte expansion, notamment pour le trafic maritime des passagers vers le Maroc. Les lignes maritimes régulières ont pour destination Tanger et Nador au Maroc, l’Afrique de l’Est, les Antilles Caraïbes, Israël, l’Afrique de l’Ouest, l’Algérie et la Roumanie. |
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Les projets de l’OPH |
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Les grosses opérations, une dédensification : La requalification d’immeubles anciens : Les opérations dans les villages de l’agglomération : |
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